samedi 18 mai 2024
Dans la mouvance de la tenue en terre ivoirienne de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football en janvier-février dernier, qui a démontré à la face du monde, l’attractivité de la destination ivoirienne, le Ministre du Tourisme et des Loisirs, Siandou Fofana, a effectué une visite immersive dans de nouveaux établissements de la capitale économique ivoirienne, le vendredi 17 mai.
De la Pâtisserie Naêl Taan à Cocody, Boulevard de France, au restaurant La Villa Verde, à Marcory Zone 4, en passant par l’annexe du Onomo Hôtel Abidjan Aéroport, , le parc de loisirs Dreamland, le Palais d’Akwa, boutique-hôtel, le Novotel Adagio, l’enseigne gastronomique Le placali Abouré, le Jungle lounge-bar, cette immersion a été l’occasion pour le Ministre de saluer l’appropriation par les opérateurs privés de la stratégie « Sublime Côte d’Ivoire », tout en étoffant et diversifiant l’offre touristique et ludique ivoirienne.
Sous la gouvernance du Président Alassane Ouattara, c’est-à-dire en l’espace d’une décennie, le secteur de l’hôtellerie a opéré une croissance de plus de 65%, l’offre s’est accrue de façon exponentielle, comparativement à ce qui a été fait les décennies précédentes
Avec à la clé, l’essor de champions nationaux. Il en est ainsi du nouveau joyau gastronomique d’Abidjan : la Villa Verde, restaurant gastronomique qui propose une cuisine méditerranéenne toute en finesse. Un espace de vie où tout rime avec ordre, beauté, luxe, calme et volupté, une réussite orchestrée par le chef Naël Fakhry. Ou encore du Novotel Abidjan Marcory disposant de 200 chambres, d'un restaurant, de salles de réunion, d'un espace fitness et d'une piscine sur le toit.
Sans compter avec l'appart'hôtel Adagio connexe comptant 110 appartements entièrement équipés, en vue d’accueillir une clientèle de moyenne ou longue durée. Quant à Onomo, il s‘est doté d’une annexe de 80 chambres supplémentaires.
Côté ludique, la promesse de réunir et divertir tous les membres de la famille autour de moments uniques, pour créer une véritable fabrique à souvenirs a une nouvelle adresse : Dreamland ! Un parc de loisirs dernière génération où chacun apprend et partage.
Que dire de l’art culinaire ivoirien qui escompte s’ériger en véritable gastronomie ? Le Placali Abouré avec ses trois enseignes abidjanaises ainsi que son application mobile combine tradition et modernité à travers ce mets populaire, mais aussi des recettes typiques du terroir. Tout en constituant un réservoir d’emplois dans le droit fil d’une des finalités de la stratégie « Sublime Côte d’Ivoire ».
Au total, ces établissements viennent étoffer l’offre touristique et ludique du pays et lui conférer une position robuste, à même d’établir la destination ivoirienne dans le leadership africain et réaliser l’objectif de la stratégie « Sublime Côte d’Ivoire ». C’est en tout cas l’avis du ministre Siandou Fofana. Qui, au terme de cette visite, a fait une révélation éloquente :
« Sous la gouvernance du Président Alassane Ouattara, c’est-à-dire en l’espace d’une décennie, le secteur de l’hôtellerie a opéré une croissance de plus de 65%. Autrement dit, l’offre s’est accrue de façon exponentielle, comparativement à ce qui a été fait les décennies précédentes ».
Une opportunité saisie par Siandou Fofana pour saluer l’émergence de « Champions nationaux » que sont ces investisseurs nationaux dans le secteur et qui challengent les enseignes internationales pour consolider l’attractivité de la destination ivoirienne.
Pour rappel, le tableau de bord statistique affiche que l’offre d’hébergement de la Côte d’Ivoire est de plus de 5000 hôtels pour une capacité d’accueil d’environ 70 000 chambres et près de 200 000 lits contre 3 708 hôtels pour 53 117 chambres et 101 386 lits en 2020 lors de la survenue de la pandémie du Covid ; soit un taux d’accroissement de 25 % en moyenne.
Toutes choses qui devraient contribuer à l’atteinte de la triple finalité de « Sublime Côte d’Ivoire » qui est de développer un moteur de croissance du PIB et démultiplier les recettes fiscales, favoriser le développement territorial hors Abidjan, et créer un réservoir d’employabilité.
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